L’île de Santo Antão dont la ville principale est Ribeira Grande,a une superficie de 779 km2 et est la seconde plus grande île de l’archipel. Elle s’étend sur 43 km de long pour 24 km de large. Ses montagnes attirent l’attention de tous ceux qui la visitent. Au centre de l’île une cordillère s’étend du nord-est au sud-est dont le sommet volcanique appelé Topo de Coroa, culmine à 1.979 mètres.
Santo Antão a été découvert en 1462, mais la Couronne portugaise a initié son peuplement à peu près en 1548. Le relief accidenté de l’île a toujours empêché son développement mais de nouvelles routes qui facilitent la communication entre les différentes localités, constituent les étapes très importantes qui ont été étudiées pour promouvoir la croissance de l’île. Avec de grands contrastes de relief, au sud le paysage est désertique tandis que vers le nord la végétation est exubérante. L’île est l’une des plus agricoles de tout l’archipel où prédominent, entre autres, des plantations de canne à sucre, de manioc, de banane, de «fruits à pain», de mangue, de papaye. Le grogue, l’eau de vie nationale, production de la canne à sucre, est fabriqué de façon artisanale et on peut, dans plusieurs localités, découvrir les «trapiches» machine rudimentaire traditionnelle utilisée pour l’extraction du jus de la canne à sucre. L’hospitalité du peuple est légendaire et l’accueil est chaleureux.
Ribeira Grande L’île de Santo Antão,a une superficie de 779 km2 et est la seconde plus grande île de l’archipel. Elle s’étend sur 43 km de long pour 24 km de large. Ses montagnes attirent l’attention de tous ceux qui la visitent. Au centre de l’île une cordillère s’étend du nord-est au sud-est dont le sommet volcanique appelé Topo de Coroa, culmine à 1.979 mètres.
Santo Antão a été découvert en 1462, mais la Couronne portugaise a initié son peuplement à peu près en 1548. Le relief accidenté de l’île a toujours empêché son développement mais de nouvelles routes qui facilitent la communication entre les différentes localités, constituent les étapes très importantes qui ont été étudiées pour promouvoir la croissance de l’île. Avec de grands contrastes de relief, au sud le paysage est désertique tandis que vers le nord la végétation est exubérante. L’île est l’une des plus agricoles de tout l’archipel où prédominent, entre autres, des plantations de canne à sucre, de manioc, de banane, de «fruits à pain», de mangue, de papaye. Le grogue, l’eau de vie nationale, production de la canne à sucre, est fabriqué de façon artisanale et on peut, dans plusieurs localités, découvrir les «trapiches» machine rudimentaire traditionnelle utilisée pour l’extraction du jus de la canne à sucre. L’hospitalité du peuple est légendaire et l’accueil est chaleureux. Il existe des liaisons maritimes quotidiennes entre São Vicente et Porto Novo, la durée de la traversée est d’environ 1 heure.
Boavista Besoin de changer d’air, à 4h30 de Paris vous avez la vraie solution de dépaysement, Boavista, niché dans l’océan Atlantique situé à environ 6 heures depuis la France, par ces plages immaculées a perte de vues, des ses paysages spectaculaires, sa culture musicale et culinaire extraordinaire grâce à sa mixité entre l’Europe, l’Afrique et l’Amériques, cet ensemble ne peu que vous séduire, l’île aux milles visages. Si vous adhérez au développement équitable, différentes prestations sont associés et soutiennent le programme d’éducation des enfants du pays.
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Si votre curiosité vous pousser à l’évasion allez au rencontre avec les tortues et les villages pittoresques, découverte de l’artisanat local et bien évidement des ses plages, dunes, désert, grotte et les chutes.
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